dimanche 28 octobre 2007

cours 3: pub sociétal: amestie

J'espère sincèrement que cette dame de amnistie internationale puisse être la pire cliente que j'aurai à rencontrer dans ma carrière de publicité.

Je suis conscient que dans le monde de la publicité nous pouvons être confrontés à des clients exigent, parfois obtus et qui manquent souvent d'imagination.

Ce que j'apprécies de la venu de cette dame est le fait qu'elle nous a traités non pas comme des étudient mais comme des professionnels.Cela-dit, je trouve de son coôté, qu'elle en a manqué quelque peu. Je trouve en effet qu,elle a eu un
manque flagrant de tact et de dicèrnement et parfois carrément de respect à notre égard.

Par la façon qu'elle a traité la première équipe, la fixation sur une simple image de plume en or, , lorsqu'elle a ouvert son journal Métro alors que mon partenaire parlait, sont autant d'exemples.

Néanmoins, son passage dans notre cours et ma première présentation m'ont beaucoup apprit. On peut détenir la meilleure idée au monde mais si on ne peut pas bien la présenter, cela est inutile.

Alors qu'elle est justement si importante, je ne comprends d'ailleurs pas pourquoi vous ne notiez pas la présentation.
Cela est peut-être dût au fait que je sois comédien mais je suis très sensible aux erreurs de langages comme: «Si j'aurais» ou entendre une personne qui ponctue chacune de ses phrases avec des «euh».

Bien que j'aime bien la structure de votre cours,
Honnêtement, je ferais les présentations autrement. Par exemple, Je déterminerais les présentations au hasard avant le dîner et, dans le but que les équipes puissent travailler leur présentation , je leur permettrais aux de ne pas assister aux présentations précédante à la leur. Bien qu'il soit très instructif d'assister aux présentations des autres équipes,il serait bien de maximiser le temps d'équipe dans le cours lui-même.

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