dimanche 28 octobre 2007

cours 3: pub sociétal: amestie

J'espère sincèrement que cette dame de amnistie internationale puisse être la pire cliente que j'aurai à rencontrer dans ma carrière de publicité.

Je suis conscient que dans le monde de la publicité nous pouvons être confrontés à des clients exigent, parfois obtus et qui manquent souvent d'imagination.

Ce que j'apprécies de la venu de cette dame est le fait qu'elle nous a traités non pas comme des étudient mais comme des professionnels.Cela-dit, je trouve de son coôté, qu'elle en a manqué quelque peu. Je trouve en effet qu,elle a eu un
manque flagrant de tact et de dicèrnement et parfois carrément de respect à notre égard.

Par la façon qu'elle a traité la première équipe, la fixation sur une simple image de plume en or, , lorsqu'elle a ouvert son journal Métro alors que mon partenaire parlait, sont autant d'exemples.

Néanmoins, son passage dans notre cours et ma première présentation m'ont beaucoup apprit. On peut détenir la meilleure idée au monde mais si on ne peut pas bien la présenter, cela est inutile.

Alors qu'elle est justement si importante, je ne comprends d'ailleurs pas pourquoi vous ne notiez pas la présentation.
Cela est peut-être dût au fait que je sois comédien mais je suis très sensible aux erreurs de langages comme: «Si j'aurais» ou entendre une personne qui ponctue chacune de ses phrases avec des «euh».

Bien que j'aime bien la structure de votre cours,
Honnêtement, je ferais les présentations autrement. Par exemple, Je déterminerais les présentations au hasard avant le dîner et, dans le but que les équipes puissent travailler leur présentation , je leur permettrais aux de ne pas assister aux présentations précédante à la leur. Bien qu'il soit très instructif d'assister aux présentations des autres équipes,il serait bien de maximiser le temps d'équipe dans le cours lui-même.

dimanche 14 octobre 2007

publicité sociétale cours no. 2

Je voudrais revenir sur le sujet des animalistes comme Brigitte bardot et Paul McCartney. je trouve que ces sortes d'organismes pour les droits des animaux ne semble protéger que les animaux qui sont mignon. On ne verra jamais Brigitte Bardot défendre les crocrodiles de Floride. Personne ne verra Paul aller flatter des ours polaires alors que son ex a failli se faire mordre par un blanchon. Je considère que la chasse au phoque est un mode de vie, et qu'il en a toujours été ainsi. Cela-dit, je ne suis pas en faveur non plus de la chasse aux phoques abusive, et ce simplement pour faire des sacoches, des bottes ou même pour faire des souvenirs de touristes. Je suis en faveur de la chasse au phoque. J'en ai personnellement déjà mangé en carpaccio et c,est délicieux. C'est une viande fort gouteuse semblable au foie mais avec un goût de mer, le goût iodé. Un chef que je connais en avait fait une terrine avec du porc confit, le tout enrobé d'une feuille d'algue, tout comme un sushi . Sur des croûtons avec un grain de fleur de sel; c'était magnifique!

Brigitte bardot fait de l'animaliste de pétasse. Tout d'abord qui n'a jamais vue B.B à poile, couché dans une fourrure. On dirait que dans le monde de B.B il n'y aurait que les animaux mignons et inoffensif qui peuvent survivre.

Pour ce qui est du deuxième mandat, je trouve qu'il est difficile à saisir. Le mandat n'est tout simplement pas claire. Les objectifs et les moyens quelque peu nébuleux. Néanmoins, j'ai bien aimé rencontrer un client ( mon premier en quelque sorte). C'est à ce moment que j'ai trouvé fort pratique mon cours de service client. Apprendre à être une oreille et parfois savoir décrypter. Il est évident que ces sortes d'organismes ne possèdent pas le marketing de Centraide, Amnesty ou Greenpeace. Les organismes locaux dépendent d'abord et avant tout sur leur communauté pour les soutenir. Seulement, pour rejoindre les gens l'organisme doit avoir un appuie des médias. Et pour cela, il faut proposer une bonne campagne dont les médias aimeraient s'y associer.

lundi 8 octobre 2007

publicité sociétale

En réaction au premier cours, j'ai trouvé très motivant et très stimulant de pouvoir participer à l'idéation et à la création d'une campagne pour une noble cause comme Amnistie Internationale

Dans mes recherches, ,'ai été complètement estomaqué par la beautée et la force de cette publicité en animation. L'enfant soldat qui s'envole avec son ballon a réussi à me tirer l'arme à l'oeil .

http://www.youtube.com/user/ibelieveinadv



Cela-dit, dans un tout autre ordre d'idée, j'aimerais préciser ma pensée concernant la pub de Dan Bigras de St-Hubert.

À quoi bon aller porter un quart poulet poitrine tout froid dans une boîte détrempée
à un jeune de la rue caché dans le fin fond d'une ruelle.

Ensuite, c'est quoi le problème en Dan Bigras et les parapluies. Même s'il tient la cause très à coeur, mon problème avec Dan Bigras est son positionnement de super Bum face aux jeunes de la rue. En effet, on dirait qu'il se présente toujours comme un espèce de Gandalf des bums, un bum de niveau supérieur.

De plus,je trouve que le message conforte l'idée de l'exclusion dont les jeunes de la rue sont trop souvent victime. Je ne dis pas que Dan devrait amener le jeune au 5 à 7 du St-Hub, mais, il aurait put offrir au jeune de venir manger avec lui dans un endroit chaud et sec.

Imaginons un jeune qui quête sous la pluie sous le regard indifférent des passants. Soudainement dan s'arrête, il lui demande s'il a faim. Le jeune dit oui . Dan dit: viens avec moi . Vue de l'extérieur d'un St-Hubert Dan et le jeune sont à table et ils mangent.

Finalement, quelle est cette croyance,( comme le laissait entendre une camarade de classe) que les jeunes préfèrent rester dans le fin fond d'une ruelle sombre que de se trouver dans un endroit chaud et sec?