samedi 6 décembre 2008

La grande dépression.

Après les banques, les grands constructeurs automobiles américains se sont rendu à Washington en jet privé et demandés 70 milliards au gouvernements américains pour sauver l'industrie automobiles .Ils demandent aussi 7 milliards au gouvernement canadien . Ils promettent en échange de rationnaliser et de supprimer des dizaines de milliers d'emplois.

Je ne comprends rien au sauvetage de l'économie, tout cela me semble être un vol absolu. On donne des centaines de milliards de dollars, c'est-à dire des centaines de milliers de millons de dollars à des industries qui, durant plusieurs décennies ont fait d'énormes fortune d'argent sur le dos des contribuables , et comme dans la fable de la cygale et la fourmi qui soudainement n'ont plus d'argent.

Le plan de sauvetage des américains consistera à la plus grande fraude que l'humanité n'ait jamais connu.
Déjà aux États-unis, des centaines de millions sont parti si rapidement que personne ne sait où est allé cet argent. La banque AIG avait un dette de 70 milliards, elle a reçu 120 milliards , et il se trouve que cette banque est encore en faillite. La question: ou est passé l'argent? On sait pas.


La genèse de cette crise économique se mondialisant me semble si absurde qu'elle me fait penser à un film avec David Bowie , The man who fell to earth ( 1976 ), où il est question d'un extra-terrestre qui prend le contrôle économique de la terre. J'ai cette impression en effet que dans cette crise financière, ce n'est pas seulement le peuple américain qui se fait avoir , mais les citoyens du monde entier. En ce moment, des sommes pharaoniques sont engloutis par des entreprises sous prétexte qu'ils sont à la base de notre économie.

Ainsi, c'est l'argent du gouvernement finançé par les impôts et les les taxes du peuple qui finance des sauvetages de sociétés dont le but est de profiter de notre argent . Car que font ces banques. Alors qu'elle nous offrent des taux d'intérêts ridicules sur notre avoir, elle profite largement sur l'argent qu'elle nous prête . Comme toute industrie, elle fait de l'argent. Peut-on impunément laisser le libre marché tuer une banque? Non , car on condamne des centaines de milliers de petits épargnants à la faillite. Ce sauvetage des banques ressemble presque à un hold-up. Il y a des otages et une demande de rançon.

La loi du libre marché tel que préconisé par le capitalisme est semblable à la loi de la nature ; Il n'y a que les plus fort qui survivent , et il est tout à fait normal qu'une entreprise plus faible vienne qu'à mourir meurt pour faire place à une autre. C'est la loi du marché. Mais pour ce qui est de l'industrie automobile américaine, qui est l'une des principales industries des étas-unis, il apparaît que cela soit différent. Tout comme les banques, l'industrie automobile détient aussi beaucoups de travailleurs en otage . L'industrie de l'automobile américaine détient un gros morceau dans l'économie américaine. Mais ces compagnies n'ont pas su offrir au consommateur ce qu'il désirait, et, parce que se sont des constructeurs de voitures n'ont pas su répondre au besoin du moment . Ainsi , d'un point de vue capitaliste, il est normal que ces compagnies disparaissent. Bye bye G.M, Ford et Chrysler. Bien-sûr, ces géants de l'automobile ne s'éteindront pas si facilement, ils vont se battre pour survivre, comme dans un film animalier lorsqu'une proie se sauve et lutte contre son prédateur.


Quelque chose en moi me fait percevoir dans cette crise financière et économique mondial , quelque chose comme un coup monté de toute pièce et que nous, simple citoyen sommes en train de nous faire voler alors que les voleurs s'en remettent encore une fois plein les poches. Je tai fait perdre tes économies? Le gouvernement va me prêter de l'argent pour que je puisse te prêter de l'argent que je t'ai fait perdre.

Parfois les médias sont souvent en concordance avec le pouvoir. Dans les médias , je n'aime pas cette association redondante de la crise financière actuel avec avec la dernière grande dépression suite au crach de 1930. Ont nous dit même que cela pourrait être pire On doit préparer le peuple à l'indigence. Dans le cahier gourmand de La Presse, il y avait un beau reportage sur des chefs réputés qui concoctaient un menu de pauvre avec des affaires d'épicerie. Comment bien mangé avec une patate et du Ketchup . On dirait qu'en se référant sans cesse régulièrement à la dépression de 1930 qu'on nous conditionne à vivre dans l'indigence pour mieux assumer nos pertes, . Rien ne se perd, rien ne se crée.Les marchés se sont effondrés, mais à qui cela a-t-il profité. Cet effondrement des capitaux et des économies ont certainement inciter les États-Unis à emprunter à quelque part cette drogue de cheval qui consiste à 700 milliards de dollars. C'est un montant d'argent si élevé que notre cerveau est incapable de réaliser à quel point le montant est astronomique. Où sont-il allé cherché l'argent?

Il y a une question dont nous connaissons toujours la réponse qui est : Qu'est-ce que cela nous coûte . Cependant, on ne sait jamais à qui cet argent profite. Par exemple . On se plein des banques. Connais-t-on la santé financière de Visa. La guerre en Irak coûte des millions de dollars par jours, tout le monde le sait. À qui cet argent profite-t-il le plus , le savons nous?